Tout être vivant
dans sa présence,
toute chose
dans sa nudité,
je me tiens,
je tiens.
Je tiens
transpercé
de réel.
Je sors
du sortilège.
Une force est donnée
pour le briser en miettes.
Vérité d'une étreinte
où la chair ne tombe pas.
La soif s’élève
dans mes mains.
Je lance un oiseau de cri.
Je n'ai pas connaissance
de ce que je veux retrouver
mais c'est mon habitation
la place refusée
enfin rendue.
J'apprécie plus que beaucoup.... Merci.
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