En dessous du mont des Fourches se tient un petit étang dans son écrin de verdure.
Un petit coin de paradis. Étrange cette nostalgie du paradis. Un peu d'eau paisible, la majesté des arbres, un lieu retiré, silencieux, cela suffit.
J'aimerais, par un tour de magie, enroulé cet endroit, puis le réduire à la taille d' une petite graine à avaler.
Une fois à l'intérieur de mon corps cette paix, cette tranquillité, ce silence se diffuserait.
Peut-être ces petits coins de paradis apparaissent comme rappel que le lieu du coeur peut être ainsi doucement, pas à pas, avec la tendresse nécessaire pour qu'il vive.
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