Livres, dessins
lignes sans fin,
pour quel chemin ?
lettres qui mènent
au désert,
couleurs qui tentent
de tromper la mort,
buée sur la vitre
rosée du matin,
le soleil vous efface.
Il reste l'espace
où rien ne se dit,
où la lumière se repose,
où le cœur est simple,
à jamais englouti.
"Il reste l'espace
RépondreSupprimeroù rien ne se dit,
où la lumière se repose,
où le cœur est simple, "
Silence béni, où il n'y a plus rien à prouver.
Merci de ce beau texte, François, et belle journée.
Merci Suzanne !!
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