Il s'avança vers le sous-bois
et là il comprît
le silence de la forêt,
un silence qui fourmille
de chants d'oiseaux
et de feuilles frémissantes.
Toute la souffrance,
et la violence du monde
restèrent à l'orée.
Il disparut
dans la lumière verte
avec l'homme verdoyant
qui doucement
commença à enlever
pendant sa marche
les plaies si nombreuses
des années écoulées.
C'est en ce jour
qu'il choisit
de ne plus jamais
se faire du mal.
J'adore la photo qui me rappelle la promenade de ce matin sur l’Île aux oiseaux.
RépondreSupprimerQuand au texte, il correspond exactement à mon ressenti dans le bois.
Et tu sais o combien j'affectionne les arbres. J'en ai embrassé un ce matin.
Merci pour ton talent Amicalement
De vert apaisant, c'était ma réflexion hier aussi dans le jardin.
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