Yatra
Poésies, photographies, gravures
dimanche 9 août 2020
L'ombre de la glycine
danse derrière la fenêtre
et la couleur de l'hibiscus
apporte un peu de fraîcheur
au corps moite
qui s'enfonce dans le fauteuil.
La chaleur passera
et pourtant ce qui demeure...
je ne sais pas.
1 commentaire:
Christine Saint-Geours
10 août 2020 à 07:46
Une lourdeur du corps qui envahit l'esprit, peut-être...
Répondre
Supprimer
Réponses
Répondre
Ajouter un commentaire
Charger la suite...
Article plus récent
Article plus ancien
Accueil
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Une lourdeur du corps qui envahit l'esprit, peut-être...
RépondreSupprimer