Sous son avalanche
de fleurs blanches
le vieux cerisier,
n'a plus d'âge.
Il est intégralement
lui-même
dans sa nature d'arbre.
Et moi, où en suis-je
de ces parts
que je ne veux pas voir
que je ne sais pas voir,
que je ne peux pas voir ?
Dans l'enclos de mon être
quel baiser poser,
quelle menace
ne plus fuir ?
Vive les arbres non palissés, les herbes folles à leur pied, les floraisons hâtives ou tardives !
RépondreSupprimerMieux ! POUR QUE VIVENT.....
SupprimerMerci Christine !
SupprimerCela me réconforte, de savoir qu'il y a des personnes qui écrivent chaque jour, qui sont inspirées au point de sortir leurs crayon, ou leur téléphone pour écrire.
RépondreSupprimerQuel beau cerisier !
Merci Shirley, continuons, continue aussi ! Tes textes et photos me touchent !
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