Chaque pétale est à sa place
sans l'avoir cherchée.
Tombés du pommier du japon
ils se sont disposés
au gré des souffles
qui naissent quand
revient le matin.
Parfois les mots
tombent de même.
Ils se placent là où il faut.
L'écrivain n'y est pour rien.
Tu te crois donc si grand
que tu te fais si petit.
L'inverse est vrai aussi.
Dans la ronde des jours,
déjà si tu restes humain,
si tu pleures, si tu ris,
tout est accompli.
:) Je lis ici après avoir posé ailleurs,
RépondreSupprimerdes mots , des mots humains
Si facile et si difficile en même temps.
oui, merci christine
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