Je ne saurais me voir sans devenir impur ;
Toujours quelque propre recherche ;
Que ce regard me soit dur !
Ah ! que votre bonté l'empêche !
Comme le basilic tue avec ses regards,
Ainsi notre regard nous tue ;
Amour perce-moi de tes dards ;
Et que je me perde de vue...
Madame Guyon
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