Fouillis d'herbes sauvages.
Rien à domestiquer.
Imagine-t-on un peigne
géant qui lisse
les prairies ?
Brulées par le soleil
elles dansent encore
sous le vent
qui annonce l'orage.
A l'ombre
de la sapinière,
il n'y a personne
Sur le chemin blanc
des gens qui devraient ralentir
courent encore
et suent leur effort.
Un samedi de juillet.
Dans les rues de la ville
Dans les rues de la ville
personne n'a ramassé
un pigeon le cou coupé.
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