Voir,
voir que ce n'est rien.
Tant de ténèbres,
tant de lumière,
les fleurs rayonnantes,
les fleurs fanées
les reflets dans l'eau
qui ne reflètent plus
ni les arbres,
ni les visages,
mais seulement
le silence,
l'abîme,
le vertige,
tout cela
pour des questions qui explosent,
des réponses réduites en poudre,
seulement la nudité
et les frères et les sœurs
jusqu'au monstre
devenu monstrueux
par toujours plus
de portes qui se ferment.
Magnifique visage encapuchonné !
RépondreSupprimerTes mots font bien écho chez moi ce soir.
Merci François, bonne soirée.