Sur le vieux tronc
des jeunes pousses
insolentes de vie :
clin d'œil.
La sève traverse
les plus vieilles écorces.
A la fin
ce n'est pas
de mort qui s'agit
mais d'un fleuve
qui partout
cherche passage
entre les murs
et les raideurs,
les scléroses
et les malheurs,
les névroses
où tout se répète,
pour se jeter
dans l'océan.
Oui, c'est exactement cela François !
RépondreSupprimerMerci de ce beau texte rempli d'espérance pour ce printemps qui débute.
Belle journée de lumière.
merci Suzanne ! Belle journée à toi !
RépondreSupprimer