Graminées,
blé en herbe,
herbes du chemin,
rouge presque sang
des coquelicots,
et dans les champs
ce qui disparait,
vue claire seulement,
rien de l'humain,
néant d'une seule pensée,
clameur de vie
des oiseaux
dans les fourrés,
feux d'artifice
des carottes sauvages,
sauvagerie du monde
où l'homme devient
plus sauvage
que l'animal,
et les cœurs blessés
qui attendent
réparation,
le silence seul
peut parler.
Encore du beau pour aujourd'hui !
RépondreSupprimerMerci des mots et de ces très belles photos.
Bonne soirée François.
Merci Suzanne !
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