Là-haut, on n'y est pas.
En bas, on ne veut pas rester.
Il fait trop sombre.
Il fait trop froid.
Si on tient une main
qui en tient une autre
qui en tient une autre,
les peurs tomberont.
Aide-moi je t'aide,
fort quand tu es fragile,
fragile quand tu es fort.
Ne me laisse pas
au pied de l'escalier.
Je ne te laisserai pas en bas.
Et si je redescends
tu seras là.
Et si tu glisses
je te rattraperai,
une marche
après
l'autre,
une marche
après
l'autre.
Avant que la nuit ne tombe sur nos épaules...
RépondreSupprimerEspérons la main solide et amicalement ferme.
Merci Christine !
SupprimerRestons humains...jusqu'au bout. Belle journée sous le chaud soleil de l'amitié.
RépondreSupprimerQue ces pensées fortes puissent devenir réalité...
RépondreSupprimerMerci François de ta foi, elle fait du bien !
Bonne journée.