Dépouillement.
L'arbre dépouillé,
tout entier
veille
dans le maintenant.
Rien d'autre.
Dressé, donné,
abandonné
à ce qui est.
Etre de l'arbre.
Etre tout court,
sans hiver, sans printemps.
Il en est de même
pour tout être,
sans oripeaux,
paumes ouvertes,
livré à la vie.
Oui, "livré à la vie".
RépondreSupprimerMerci des ces mots, de cet arbre porteur de tous les espoirs, malgré sa nudité.
Bonne soirée François.
Ses branches voulant étreigner nuage. Voilà en vérité un être sage. Belle journée à vous.
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