Le soleil est réel,
plus réel
qu'une seule pensée.
Enfoncée
dans la terre,
nuit d'humus,
l'étoile germe.
Les corps
seront bercés
par le soleil.
Envahissement progressif.
Planté en terre,
aimé par elle,
le repos a un parfum.
Plus d'obscur.
L'effroi est percée
d'une étoile.
Par la fenêtre,
ce n'est pas une aube
mais une voix
qui berce l'enfant intérieur.
Pas après pas,
avec les cailloux blancs du oui,
sortir du labyrinthe.
Et se retrouver océan
qui chante avec le vent.
Très jolie composition !
RépondreSupprimerBel après midi François.