De toute éternité
les choses, les êtres
sont des signes.
Ils renvoient
à l'on ne sait quoi,
une nostalgie.
Ce peut être
un étang,
le vent dans l'avoine,
un linge blanc
qui flotte au vent
sur un fil.
Toujours le cœur
veut être comblé.
Et cela de toute éternité.
L'étang s'assèche,
le linge se salit
l'avoine est coupée,
Mais de toute éternité
le cœur est sans repos
tant qu'il ne repose pas
en "on ne sait quoi"
J'ignore tout de la profondeur de cette surface liquide, mais je sais que sa capacité de reflet est signe de non-agitation. Superbe photo. Merci.
RépondreSupprimerOui, nostalgie de "on ne sait quoi.."
RépondreSupprimerTes mots approchent cet inexplicable, mais profond ressenti.
Merci de ce partage qui me parle si bien !
Bonne journée, François, dans la beauté du gris.
Merci à tous les deux !
RépondreSupprimerL'être et son reflet. Qui est l'être et qui est le reflet ? Quand les deux s'accordent alors peut-on parler de sérénité ?
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