Pas d'autre chose à faire.
Etre tourné,
fixé,
aimanté,
fasciné.
Il y a un monde derrière nous.
Il y a toujours un monde derrière nous.
Pourquoi s'y accrocher ?
Il y a de l'or.
Il y a du feu.
Et cela vit.
Trace d'étincelles
qui se poursuit
d'aube en aube.
Il y a des mains
qui ne lâchent pas,
ne se referment jamais.
Et c'est celles-là qui sont à choisir
Et c'est celles-là qui sont à tenir.
"Il y a des mains
RépondreSupprimerqui ne lâchent pas,
ne se referment jamais.
Et c'est celles-là qui sont à choisir
Et c'est celles-là qui sont à tenir."
Ce sont ces précieuses présences qui aident à passer les caps difficiles.
Merci François de ces mots qui font du bien !
Merci du passage Suzanne !
SupprimerBonsoir François
RépondreSupprimerOui, merci pour ces mots , une balade du soir ,un beau poème...
Merci Noelle !
SupprimerDeux mains qui se rencontrent, une amitié qui nait. Deux rois en ce royaume.
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