D'où est venue cette peur,
ces soucis qui rongent ta vie ?
N'es-tu pas aussi une fleur ?
Tu ouvres les mains.
Ton cœur a plus de pétales
qu'il n'ose croire.
Ta vie a plus de feu
qu'elle n'ose espérer,
plus d'amour qu'elle n'ose donner.
Tu te lèveras,
de l'extérieur iras
vers ton cœur
le plus intérieur.
Une voix te dira :
"Te voilà enfin !"
et ta fleur s'ouvrira enfin,
comme le souci du jardin
qui donne tout.
L'homme, ce fildefériste, oscille toujours sur le fil de la vie.
RépondreSupprimerBelle métaphore François ! Elle me parle bien aujourd'hui.
RépondreSupprimerMerci de tes mots qui font du bien.