Entre la Meurthe
et la chartreuse de Bosserville,
Respirer le vent
qui vient de loin.
Respirer l'espace
du champ d'orge
dont les vagues disparaissent
sur le rivage du chemin.
Respirer le ciel
qui sans rien me demander
écarte les barreaux
de la prison où
la pensée moisit.
Respirer l'eau
qui parle
de la clarté
où peut se refléter
ce que l'on est vraiment.
Parfait lieu pour libérer l'esprit, bonne balade, François.
RépondreSupprimerMerci Christine !
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