Le pommier du Japon s'enflamme
malgré le vent froid.
Cela ne durera pas.
Un peu de sang
sur le trottoir.
Que tient-on
entre ses mains ?
On ne peut qu'être là,
que dire merci
même pour l'ombre
et la nuit.
Ce que l'on croyait être
disparaîtra.
Restera ce que
l'on ne sait pas.
Merci de cette puissante réflexion, François, qui fait bien écho chez moi.
RépondreSupprimerBonne journée !