Auprès de l'arbre en fleurs
l'on était heureux.
Son ombre ne pesait pas plus
qu'un pétale emporté
par le vent.
On échangeait des paroles
comme on se prête
des trésors d'enfant.
Auprès de l'arbre en fleurs
la vie était si simple
qu'on savait déchiffrer
le chant des oiseaux.
Auprès de l'arbre en fleurs.
On aurait jamais dû le quitter.
Quel déploiement de générosité !
RépondreSupprimerCette fois, petit clin d'oei bienvenu à Brassens.
Merci François !
Merci de ta fidélité à me lire Suzanne !
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