Dans le jardin du Goethe Institut,
il n'y a jamais personne.
les arbres se parlent
et tuent le temps.
Après l'hiver, le printemps.
On peut repasser
dans dix ans.
Rien n'aura changé.
Simplement
peut-être
comprendra-t-on
quelque chose
devant une certaine forme
d'immuabilité.
le nôtre n'a pas de jardin mais est situé à côté du plus grand parc de centre ville, beaucoup de monde !
RépondreSupprimerMerci du passage, Christine !
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