samedi 18 juillet 2020





Apres les pluies nocturnes
les oiseaux reprennent
leurs chants qui mûrissent
près du soleil en évasion,

Je veille paupières closes,
au seul réel d'un désert
qui n'en finit pas,
je n'ai que ce regard
douceur d'un champ d'avoine !

Je donne ce que je n'ai pas,
vide et sans forces.
Toi qui passes là
prends donc mon
bouquet de mots !

Viens te reposer
contre mon épaule,
ne regarde pas mon visage
que la nuit défigure,
la lumière est pour toi !

Je donne ce que je n'ai pas !
A l'horizon des nuages noirs étincellent.
 Un feu couve en plein orage.
Que lui se lève en ton cœur,


je reste là pour toi !







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