Ce qui émerge
de l'obscurité et du chaos,
je ne peux rien
en décrire.
J'en vois
quelques signes,
quelques touches délicates.
Et je reste là
muet et droit.
Mes mains
ne sont plus serrées.
Sans tension
je suis tendu
de tout mon être
vers ce qui émerge
J'habite mon cri
C'est un oiseau blotti
qui se repose dans le noir,
et vole seulement
grâce au soutien du vent.
Le lumineux de tes photos fait du bien !
RépondreSupprimerTrès beau texte aussi.
Merci François.
Merci Suzanne !
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