Il y a des mondes
qu'on ne touche pas,
qu'on ne prend pas,
des mondes
qu'il est impossible
d'envahir,
des mondes qui resteront
lointains
et c'est très bien.
Il n'y a peut-être
rien à saisir
quand l'on vit.
Seulement se dessaisir,
laisser partir,
se laisser
et laisser ses mains
s'ouvrir
Et les mondes lointains
viennent
et nous sourient.
Du plomb fondu de l'hiver
RépondreSupprimeraux scintillements de l'été
nous ne sommes que nudité
Oui ! C'est beau Christine !
SupprimerOui ! C'est beau Christine !
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