Petit arbre deviendra grand.
Les murs sont en carton.
Je n'abandonne pas.
Je n'abandonne rien.
Je suis pas coupable
d'avoir des sentiments,
surtout quand ils sont purs.
Les murs sont en papier.
Je n'abandonne pas,
continuerai à grandir.
Les murs sont aussi
dans le cœur des hommes,
alors qu'il n'y a qu'un homme
alors qu'il n'y a qu'un cœur.
Je passe les frontières.
Je veux aller plus loin.
Superbe ! La nature de l'arbre lui fait pousser les murs... Pourrions-nous, humains pensants, avoir la même grâce, en prenant le même temps, le temps de l'arbre ?
RépondreSupprimerMerci Jean ! Oui le temps de l'arbre !
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