Finalement ce qui se brise
c'est la dureté,
ce qui se fige
et ne veut plus bouger.
Que reste-t-il ?
C'est comme si l'on changeait de regard.
Qui voit à travers mes yeux ?
Je vois peu à peu
dans la dureté
grande misère
et grande peine.
Je vois mais cela ne vient plus de l'extérieur.
Comme il y a un langage
derrière le langage,
il y a une vision derrière la vision.
La vie n'est pas dure,
mais il est possible
de choisir la dureté
contre elle.
Toujours de jolis textes, de belles photos, merci François
RépondreSupprimerJe t'embrasse