mardi 2 juillet 2019


Tous ces pas, année après année,
cela aurait pu et cela a été
monotone.

Cela dépendait de tant de choses,
et déjà des embrouillaminis
mentaux.

Mieux vaut aller
la tête coupée.

Mètre après mètre,
je n'ai pas tout vu,
ni tout exploré.

Et ce matin l'ombre immense
d'une plante planté là par le vent,
et le soleil brouillard d'été,
et la fraîcheur de l'air
qui trouvait son chemin
jusqu'aux pensées,

c'était un cadeau de départ.

Pas de monotonie
au pays intérieur.








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