Ce qu'il y a d'infini
en cette poussière de vie
que je suis.
C'est une exclamation sans point,
puisqu'il n'y a pas d'arrêt.
Est-ce que je vis
si je me noie
dans le tourbillon
de la vie ?
Point d'arrêt à l'émerveillement
si je m'arrête
et que je prends conscience
que je suis libre
de libérer en moi
ce qui n'a encore
jamais vu le jour.
Et personne d'autre
ne peut le libérer
à ma place.
"Libérer en moi ce qui n'a pas encore jamais vu le jour."
RépondreSupprimerL'idée me plaît.
Bon dimanche François.
Merci Suzanne, à bientôt
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