C'est le lent retour à l'humus.
Plus de singularité
pour les feuilles singulières.
C'est le pluriel informe
de la matière décomposée.
Je vais où ?
Et pourtant
en moi, il y a
une longue pensée sinueuse,
comme la corde d'une guitare
qui vibre sans arrêt.
Certains rient
lorsqu'on parle d'âme.
Mais dès que l'on est vivant,
on est âme-moureux.
Tant qu'il y a un souffle de vie
il y a une âme
qui cherche un chemin
et qui crie.
Un bien joli poème François, je dis joli et pas beau, pour en saluer l'élégance.
RépondreSupprimermerci Christine !
RépondreSupprimerIl y en a tant, des âmes qui cherchent à émerger....
RépondreSupprimerMerci.
A bientôt Jean !
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