La place est presque déserte.
Les cuillères tournent dans les cafés.
Les regards tournent dans l'espace.
Voir, être vu. La vie passe
comme s'efface la fumée
des cigarettes sur la terrasse.
je ne cherche pas
à la rattraper.
Elle va là où
elle doit aller.
Pourquoi a-t-on
parfois honte
de pleurer ?
Pas honte, une retenue de soi ou pour soi.
RépondreSupprimerOui ,c'est juste. Mais seul, y-a-t-il un bout des larmes ?
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