Si tu ne crois pas
au pouvoir de l'aube,
regarde les feuilles
de cet arbre.
Ne vois-tu pas
qu'elles sortent
d'un bain d'aurore ?
Viens plonger avec moi !
Quelle crainte
pourrions-nous encore avoir ?
Frémissement de lueurs,
dans tes yeux,
sur tes mains !
Ce qui t'enserrait
si fort s'est dissous.
Tu te surprends
à respirer la vie
qui jamais n'a cessé
de t'attendre.
Et maintenant,
vous ne vous quitterez plus.
Magnifique !
RépondreSupprimerMerci Jean, à bientôt !
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