Au milieu de ma vie,
je me suis épris du Tao.
Sur mes vieux jours
j'habite au pied de la montagne du Sud.
Quand l'envie me prend,
solitaire je m'y rends.
De choses si merveilleuses
je suis le seul à jouir
je marche jusqu'à la source.
Assis, je regarde les nuages
qui s'élèvent.
Par hasard je rencontre un vieux bûcheron.
Nous parlons, nous rions oubliant le retour
Wang Wei (701-761)
Gravure pointe sèche d'après tableau de Louis Français
Très joli gravure François,
RépondreSupprimerMerci pour ce poème , je t'embrasse
Merci Noelle ! Je viens de mettre en premier ton blog dans la barre des favoris. COmme cela je pourrais y faire des tours, maintenant que j'ai dit adieu à fb. Et nous pourrons rester en lien. Bonne soirée, à bientôt
RépondreSupprimerA bientôt François !
RépondreSupprimerMerci