Le printemps hivernal
amène les mésanges
à picorer à nouveau
les graines de tournesol.
Elles sont si vives
et si fragiles
en même temps.
Elles sont sans cesse
en mouvement.
Pourquoi veux-t-on,
vieux, ne plus grandir,
se rabougrir, se rétrécir,
alors que les mésanges
continuent de vivre
jusqu'au bout ?
Merci pour ce beau texte. Cela me fais penser à ceci:
RépondreSupprimerMésange mon bel oiseau
Dans mon cœur tu es le plus beau.
Le ciel est ton royaume
De la haut regardent nos autres,
Confortés par mes anges comme apôtres.
Oui mon bel oiseau
Je rêve de tes oripeaux.
Merci ! Beau texte ! Belle journée à toi !!
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