Trois tableaux de l'exposition "Répétition" à Metz
Il y a ce qui se répète
se répète, se répète,
sans fin
mais à chaque fois
ce qui est répété
s'améliore, se polit,
s'assouplit, se colore
de nouvelles nuances
et devient un joyau
dans un temps
qui ne compte pas.
Et puis il y a ce
ce qui se répète,
se répète, se répète,
sans fin,
mais à chaque fois
ce qui est répété
abrutit, alourdit,
opacifie, détruit
et devient un poison
empli d'amertume
dans un temps qui compte
les secondes de l'ennui.
Juste et fine analyse !
RépondreSupprimerMerci de ce riche partage François.
Belle journée.🌞