On ne voit rien,
ne sent rien,
n'entend rien.
Mais souterrain
le printemps
vient
Tu verras que la mort
est percée
de part en part
par ce qui la contient.
Tu sentiras le parfum
des fleurs de tous les univers
emporté par le vent
qui dénoue l'oppression.
Tu entendras le chant
de tes profondeurs
où a germé
dans les ténèbres
une confiance d'enfant
qui a un lendemain.
Magnifique texte pour célébrer ce tout nouveau printemps qui arrive.
RépondreSupprimerL'image est la parfaite iillustration de cette fabuleuse percée !
Merci François. Bon dimanche !
Merci Suzanne !
SupprimerJ'adore ce poème qui me touche directement. Merci François et gardes bien ta plume en main !
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