Bois-le-Duc est comme une île
au dessus du monde.
La ville est un brouillard
où les esprits se brouillent.
Ici cela grouille entre les branches,
moineaux en bandes,
pies jongleuses,
corbeaux hiératiques.
Les chants d'oiseaux
sont aussi simples
que les maisons.
Et je me surprends à rêver
dormir ici un jour
la fenêtre ouverte
gardé par tous ces volatiles
qui frétillent.
Ils recommencent le matin à chanter, je les entends par la fenêtre avant les premières lueurs, signe que le printemps approche
RépondreSupprimerEspérons...
SupprimerJe m'y inviterai sans problème.....
RépondreSupprimerOui...
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