Dans une ruelle,
des barreaux d'un côté,
une porte scellée de l'autre,
et au fond une impasse,
c'est la réalité.
Mais si dans l'instant
je lève les yeux
par dessus les toits
chers à Verlaine,
qu'est-ce que je vois ?
Le ciel n'est pas demain
ni n'était hier.
Désormais
maintenant,
et mains tenant,
le ciel
est présent
le trait d'un oiseau
RépondreSupprimersuivi des yeux nous porte
au plus haut du ciel
Merci Christine !
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