Colchiques dans les près,
c'est la fin de l'été.
Cela a-t-il été ?
L'automne sera-t-il
monotone ?
Cela dépend
de ma liberté.
Je marcherai
dans les feuilles mortes
respirerai leur parfum
qui recrée le lien
avec l'enfance en forêt.
La monotonie
est à l'extérieur,
Le paradis
à l'intérieur.
Colchiques dans les prés,
je sors du brouillard.
L'automne aura
une autre clarté,
douceur d'un baiser.
Un bel automne qui se prépare dans la chaleur d'un été qui n'en finit pas.
RépondreSupprimerIci un peu de fraicheur ! Bonne journée Christine !
Supprimer