Le vert enchanté existe.
On le rencontre
au détour d'un chemin,
près de l'étang de Brin.
Il n'y avait pas
d'autre endroit
que celui-là
Et il n'y en aura
jamais d'autre.
Parce que là,
par enchantement
tout est oublié,
et l'on sait
sans savoir
que demain sera bien
puisqu'aujourd'hui
l'était.
Hier, sur la colline de Ronchamp, le vert des feuilles d'un jeune arbre m'inspirait la même pensée. Merci à toi, poète-photographe, d'avoir capté la vérité d'un message si fortement transmis par la vie dans l'éternité d'un instant saisi par un regard, un clic et quelques mots.
RépondreSupprimerMerci Jean !!
SupprimerSous ces hautes futaies j'aimerais me reposer sous le chaud soleil d'été. Merci François
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