Un chien assis
me fait rêver.
Je suis en Russie.
La fenêtre est noire.
Mais pourquoi
n'apparaîtrait-il pas
un visage qui me sourirait ?
Il n'y aura personne,
je le sais.
Je peux rêver,
mais cela ne changera rien.
La fenêtre restera noire.
Il n'y aura pas de signe.
Pourtant ce chien assis
continue à me fasciner.
J'aimerais voir plus loin
que cette fenêtre noire.
Il doit bien y avoir
des portes quelque part.
Le charme du feston disjoint, peut-être...?
RépondreSupprimerUne faille dans la beauté sombre du bois.
Oui, c'est vrai ! Etonnant ce feston qui sort du rang !
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