mercredi 19 avril 2017

Portrait d'André Dhôtel, romancier
gravure pointe sèche

"Parfois j'étais complètement ébloui, j'aie essayé de traduire cela dans un livre, mais je n'y suis pas arrivé. C'est intraduisible. Je crois que c'est lié au fait de ne pas regarder, de ne pas rechercher ce qui est intéressant.. Je vous dirai que j'ai été également saisi par des lieux. J'ai fait un poème sur un de ces lieux, sur une renoncule : "Prie pour moi au désert, renoncule sans passeport, lumière, mon amour." C'était au croisement de la de la route de Provins avec la route qui va aux Eparmailles. Il y avait une route...une ancienne route avec un triangle d'herbe. Ce triangle d'herbe, pour moi, c'était... c'était sans prix et pourquoi ? Alors là, impossible de le savoir."






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