"Pousse-moi fort,
jusqu'au ciel,
jusqu'au ciel !"
L'enfant rit
ferme les yeux
ivre de vent,
ivre d'espace.
On l'entend
chanter doucement :
"Jusqu'au ciel,
jusqu'au ciel,
puisque c'est
ma maison !"
Et l'on comprend
soudain
que c'est main-tenant
et pas demain.
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