Un instant,
l'homme a disparu.
Le cri des foulques,
la berceuse des feuillages,
quelques branches
qui craquent.
Plus une trace
d'homme.
Le regard , seul,
reste humain.
Il dépose
sur chaque herbe,
sur chaque arbre,
sur chaque oiseau
sa fragilité et sa tendresse.
Plus de séparation.
Il est bon d'être ensemble.
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