Quelques lignes, des remous.
La nuit efface tout.
Le bateau disparait
même celui qui
reste à quai.
Le promeneur équanime,
des images qu'il voit,
ne garde rien.
Sa paix lui suffit,
détaché de la terre
et du ciel.
La nuit efface tout.
Le bateau disparait
même celui qui
reste à quai.
Le promeneur équanime,
des images qu'il voit,
ne garde rien.
Sa paix lui suffit,
détaché de la terre
et du ciel.
Nous passons, repassons dans nos pas...
RépondreSupprimerBonne journée, inlassable promeneur !