Quelques coquelicots sur un mur
dansent sous le vent.
Ils montent d'eux-mêmes
vers le ciel.
Dans quelques semaines
les papillons rouges s'envoleront.
Personne ne pourra les saisir.
Même le regard peine à comprendre.
On devient ce que l'on regarde,
Les coquelicots viennent et s'en vont.
Personne ne pourra les cueillir.
On devient ce que l'on regarde.
Coquelicots traversés de lumière.
Merveille que ces fleurs fragiles qui poussent où bon leur semble, se nourrissent de si peu.
RépondreSupprimerBonne journée François. Merci de ce beau partage.
Des taches de sang sur mur de pierre. La vie foisonne et, parfois, nous ne la voyons pas. Belle journée Suzanne et François
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