En chacun plus grand que lui,
espérance, sans espoir.
Le monde assombri
rend la lumière
si intense.
L'hiver finit.
Les canons
commencent.
Ne pas perdre confiance,
saut dans l'inconnu.
L'invincible
petite espérance.
Surabondance
invisible
qui perce
la nuit,
la nuit du regard aveugle.
"l'invincible petite espérance..."
RépondreSupprimerJe garde ces mots bien au chaud.
Merci François.
Merci de ton mot Suzanne !
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