Colchiques dans les près,
c'est la fin de l'été.
Cela a-t-il été ?
Je marcherai
dans les feuilles mortes
respirerai leur parfum
qui recrée le lien
avec une enfance en forêt.
La monotonie
est à l'extérieur,
Le paradis
à l'intérieur.
Colchiques dans les prés,
je sors du brouillard.
L'automne aura
une autre clarté,
douceur d'un baiser.
Quelle allégresse, François ! Je sens le pas léger.
RépondreSupprimerMerci !
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