Le corbeau méprisé
en son royaume
savoure l'espace
qui s'offre à lui.
Personne ne lui
prendra sa liberté.
Certains lui lancent des pierres
D'autres le clouent
aux portes des granges.
Mais que peuvent-ils blesser ?
Que peuvent-ils attraper ?
Il se tient sous un autre regard,
celui où ses ailes
peuvent se déployer,
celui où il est bon
d'être simplement
corbeau en sa vérité.
Belles traces de vies, offertes dans toute leur poésie.
RépondreSupprimerJoli plaidoyer pour le corbeau !
Merci François.
Merci Suzanne, à bientôt
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