Entre la Meurthe
et la chartreuse de Bosserville,
je respire le vent
qui vient de loin.
Je respire l'espace
du champ d'orge
dont les vagues disparaissent
sur le rivage du chemin.
Je respire le ciel
qui sans rien me demander
écarte les barreaux
de la prison où
ma pensée moisit.
je respire l'eau
qui me parle
de la clarté
où peut se refléter
ce que je suis vraiment
Soi à perte de vue !
RépondreSupprimeret moi disparu ! bonne journée Christine !
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